Sujet
du mémoire : création d'un Guide de Recherche sur Internet
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3.1
- Objectifs à atteindre et préparation du guide de recherche
3.1.1 - Les objectifs à atteindre
3.1.2 - La préparation du guide
3.2
- La création de la version papier du guide de recherche
3.2.1 - Concernant l'analyse des moteurs et annuaires
3.2.2 - Concernant l'annuaire de sites
3.2.3 - Concernant le glossaire
3.3
- L'évolution du guide de recherche sur Internet
3.3.1 - La mise au format électronique du guide
3.3.2 - Les évolutions du guide à plus long terme
Introduction
Durant le stage de seconde année que j'ai eu la chance de réaliser au sein de France 3 Centre, j'ai conçu un "Guide de Recherche sur Internet".
Lorsque les documentalistes
de la station m'ont accepté en tant que stagiaire, elles m'ont informé
qu'elles n'avaient pas réellement réfléchies à un
sujet de mémoire. La réorganisation du plan de classement aurait
pu leur être utile mais ce travail, qui n'aurait pas été
envisagé dans un contexte général, n'aurait pas constitué
un travail suffisant pour un sujet de mémoire.
Par contre, les documentalistes m'ont fait savoir qu'elles n'utilisaient pas
beaucoup Internet, par manque de temps faute de savoir-faire.
Comment faciliter les recherches sur un Internet de plus en plus riche en informations diverses et variées, pas toujours vérifiées, et ce à destination de documentalistes généralistes travaillant au sein d'une chaîne de télévision régionale ?
Après concertation, nous avons donc décidé de créer un guide de recherche sur Internet. Il s'agirait d'un outil permettant de faciliter les recherches sur la toile et qui pourrait donner confiance aux employées quant à l'utilisation de cet outil. Les réponses aux demandes faites par les journalistes peuvent être trouvées grâce à Internet, d'où la nécessité de ce guide.
Sous forme d'un fascicule,
l'outil se veut être à la disposition des documentalistes, mais
pourrait également être utilisé par les journalistes.
Dans une première partie, les plus grands moteurs et annuaires de recherches
francophones seraient analysés. Dans une seconde partie, un annuaire
de sites riches en informations serait présenté sous forme arborescente,
classé en domaines et en sous-domaines. Enfin, un glossaire constituerait
la dernière partie.
Cette troisième partie du rapport tentera d'expliquer la manière dont j'ai effectué les recherches et réalisé le guide de recherche sur Internet, produit conçu et édité en tant que sujet de mémoire de stage, et disponible entièrement en annexes (fascicule à part).
3.1 - Objectifs à atteindre et préparation du guide de recherche.
Dans cette première partie, j'expliquerai le travail réalisé en amont afin de savoir ce qu'attendaient les documentalistes. Je montrerai ma démarche de préparation.
3.11 - Les objectifs à atteindre.
Afin de réaliser un guide de recherche sur Internet qui soit pertinent et qui corresponde aux besoins des documentalistes de France 3 Centre, il fut nécessaire de les observer et de mener une petite enquête.
Durant mon stage, j'ai
donc pu observer le travail de mes collègues concernant les demandes
d'informations formulées par les journalistes.
La majorité des requêtes pouvaient être solutionnées
grâce au logiciel documentaire ou aux dossiers de presse. Mais il est
arrivé que l'outil Internet se révèle utile. Par exemple,
des journalistes cherchaient à contacter rapidement un député
ou un sénateur : les sites de l'Assemblée Nationale et du Sénat
qui proposent les contacts de tous leurs membres ont apporté une réponse
claire et rapide. Aussi, un journaliste qui souhaitait consacrer un magazine
à la Seconde Guerre Mondiale et aux Monuments aux Morts a reconnu l'utilité
d'Internet dans la précision des informations obtenus.
Les documentalistes, lorsqu'elles effectuaient des recherches sur Internet,
utilisaient soit Copernic, soit la fonction "Rechercher" proposé
par "Internet Explorer". Mais Copernic n'est pas forcément
pertinent, ni rapide et ne possède pas de fonctions poussées pour
classer les résultats de la recherche. Quant à la recherche via
le navigateur de Microsoft, elle aboutit à une requête sur "MSN
Search" (le moteur de recherche de la firme de Bill Gates) qui ne couvre
pas toute l'information disponible sur la Toile.
Il fallait donc présenter d'autres moteurs afin de pouvoir interroger
un maximum de sites.
Aussi, en établissant un questionnaire, j'ai pu prendre en compte les connaissances et les besoins de certains documentalistes. Sous la forme d'entretiens, je leur ai demandé les moteurs qu'elles connaissaient parmi une liste de quinze (les plus connus), ceux qu'elles utilisaient et leurs observations sur ces outils. Concernant l'annuaire de sites que je comptais mettre en place, je leur ai proposé une liste de domaines qu'elles pouvaient compléter et leur ai demandé ce qu'elles attendaient de cet annuaire. (Cf. annexe 3).
A la suite de ces entretiens, il est apparu que les documentalistes recherchaient sur Internet une information rapide et pertinente, sans trop de publicités. Aussi, les sites institutionnels, de justice et de statistiques semblaient être les plus utilisés. Egalement, concernant l'annuaire de sites, on m'a demandé de faire attention à l'architecture en domaines et sous-domaines : de ne pas mettre au même niveau un domaine et un sous-domaine. Enfin, une des documentalistes souhaitait que soit établi un glossaire expliquant les mots du nouveau vocabulaire lié à Internet : définitions de termes tels que "annuaires", "portails", etc.
Après l'observation et les entretiens, j'ai donc décidé de créer le guide en trois parties. Une première partie décrivant les moteurs et annuaires de recherche francophones les plus connus avec description, utilisation des opérateurs booléens et services associés. Une seconde partie proposant un annuaire de sites riches en informations architecturé en domaines et en sous-domaines avec un résumé indicatif pour chaque site sélectionné. Enfin, une troisième partie composée d'un glossaire.
3.12 - La préparation du guide.
Afin de sélectionner les moteurs que j'allais analyser, ainsi que les domaines qui constitueraient l'annuaire de sites, il m'a fallu me préparer et analyser l'existant sur Internet et au sein du centre de documentation de France 3 Centre.
La première partie
du guide de recherche consiste en la description des plus grands outils de recherche
sur Internet.
Il a donc fallu sélectionner des moteurs et des annuaires. Lors des entretiens,
j'ai noté les moteurs connus par les documentalistes, puis j'ai ajouté
ceux que je connaissais personnellement. Afin de compléter cette liste,
j'ai interrogé Yahoo et Voilà. Ces derniers m'ont fourni le noms
d'autres moteurs et annuaires. Enfin des sites d'aide à la recherche
tels qu'"Abondance" m'ont indiqué des noms d'outils de recherche.
Il faut également signaler que des moteurs tels que "Woyaa.com"
et "Godado.fr" ne m'ont pas paru pertinent. Leur base n'étaient
pas assez riche et leur interface peu satisfaisante. J'ai donc décidé
de ne pas les analyser.
J'ai souhaité que l'analyse des moteurs se présente sous forme
de fiches d'une page avec logo, URL, descriptif, mode d'emploi des opérateurs
booléens et services associés. Afin de créer un outil clair
et facile à comprendre, j'ai décidé de me limiter aux informations
les plus importantes : ainsi, une homogénéité (une page
par moteur) serait respectée.
La seconde partie consiste
en l'établissement d'un annuaire de sites, classé de façon
arborescente en domaines et sous-domaines. Afin de répondre aux besoins
des documentalistes, il a fallu sélectionner des domaines et les organiser
au mieux. J'avais commencé par analyser l'organisation du plan de classement.
Mais ce dernier s'est révélé être composé
d'un grand nombre de thèmes sans une réelle structure arborescente.
Il ne pouvait donc pas servir de support à l'annuaire que je cherchais
à établir.
J'ai donc décidé de comparer l'organisation d'annuaires existants
sur Internet. J'ai ainsi comparé les structures de Yahoo, Nomade, Guide
Voilà et Looksmart, considérant qu'un échantillon de quatre
outils suffisait car les annuaires sont souvent construits de la même
façon.
M'inspirant donc de ce qui existait déjà sur Internet, j'ai construit
un annuaire de treize domaines incluant entre autres un domaine "Référence"
(annuaires, encyclopédies, compléments des équivalents
papiers), "Région Centre" (incluant les sites de la Région)
ainsi qu'une page proposant les sites des Ministères (souvent demandés
par les utilisateurs).
Pour chaque adresse Internet (URL) que j'allais inclure dans l'annuaire de sites, j'ai décidé d'indiquer l'adresse du site ainsi qu'un résumé indicatif d'une à deux lignes expliquant ce que propose le site. Je préfère me limiter à de courts descriptifs car des résumés trop longs alourdiraient le guide de recherche inutilement, l'information devant être claire et concise.
Dans la première partie, j'ai donc décidé de décrire les moteurs suivants : Altavista - Caloweb - CTrouve - Ecila - Excite - Francite - Google - Hotbot - Lokace - Looksmart - Lycos - MSN - Nomade - Voila - Yahoo.
Dans la seconde partie, j'ai souhaité dresser un annuaire de sites en fonctions des domaines suivants : Actualités et médias - Arts et culture - Economie, Entreprises, Industries - Formation, Emploi - Informatique, Internet - Politique, Institutions - Références - Région Centre - Santé - Sciences humaines - Sciences, techniques et recherche - Social et Faits de Société - Sport.
3.2 - La création de la version papier du
guide de recherche.
Dans cette seconde partie, j'expliquerai concrètement comment j'ai réalisé chacune des parties du guide ainsi que leur mise en forme pour la version papier.
3.21 - Concernant l'analyse des moteurs et annuaires de recherche.
Une fois décidée la liste des outils disponibles en ligne que j'allais décrire, j'ai commencé à établir une charte graphique. En effet, afin de créer une homogénéité dans cette partie, il fallait que les analyses soient présentées de la même manière pour chaque annuaire ou moteur. De plus, l'information devant être claire et concise, j'avais décidé de me limiter à une fiche d'une page par outil décrit. A l'aide du logiciel Word, j'ai donc créé un modèle de document ; chaque fiche devant comprendre : le logo, l'adresse du site et trois cadres : "Description", "Utilisation des signes et des opérateurs booléens" et "Service proposés".
Afin de récupérer
le maximum d'informations permettant de décrire les moteurs et les annuaires,
j'ai imprimé toutes les pages "aide" ou "mode d'emploi"
mis en ligne sur les sites et j'ai également utilisé les descriptifs
du site "Abondance". Une fois l'impression sous les yeux, je surlignais
les informations intéressantes qui me permettraient d'écrire le
texte.
Pour compléter les cadres "description", je retenais les informations
concernant les possibilités offertes en recherche simple ou avancée,
les techniques utilisées pour classer les résultats de la recherche,
la manière dont les pages web des bases sont référencées.
Egalement, je faisais attention aux opérateurs booléens ET, OU,
SAUF, aux troncatures et aux guillemets. Chaque outil de recherche possède
sa propre syntaxe qu'il faut assimiler pour rendre pertinents les résultats.
C'est pour cela que je tenais en parallèle un tableau comparatif d'utilisation
des opérateurs booléens pour chaque outil de recherche. J'ai inclus
ce dernier en annexe du guide (fascicule à part).
Enfin, le troisième cadre contient les principaux services proposés
par les sites Internet. Il s'agit d'outils complémentaires qui peuvent
se révéler intéressants tel que l'hébergement de
sites, la messagerie électronique, etc.
J'ajouterai que par souci d'objectivité, j'ai préféré classer les outils par ordre alphabétique. J'aurai pu différencier les moteurs (indexés par des robots) des annuaires (analysés par des documentalistes), mais cette tâche aurait été difficile car certains sites proposent un moteur riche ainsi qu'un guide plus concis (par exemple : Voilà, Lycos).
3.22 - Concernant l'annuaire de sites.
Lors de la préparation de cet annuaire, j'avais choisi les domaines que j'allais traiter.
L'objectif était de proposer aux documentalistes une liste de sites riches en informations. Cette richesse et la sécurité des propos sont souvent le fait de sites institutionnels (organisations publiques, collectivités, ministères) ou de portails qui possèdent des moyens techniques et financiers à la hauteur. C'est pour cette raison que je me suis limité à la sélection de ce genre de sites Internet.
Afin de trouver ces sites
pertinents, j'ai interrogé des outils de recherche tels que Yahoo, Nomade
ou Voilà, en utilisant l'arborescence proposée et en interrogeant,
un à un, les domaines que je souhaitais couvrir. Je découvrais
ainsi des sites dont je prenais note. Lorsque pour chaque domaine, j'avais trouvé
les sites intéressants, je les rassemblais en différentes sous-catégories
qui constitueraient les sous-domaines.
Une fois effectuée la recherche des sites pour chaque domaine, je revisitais
les sites un à un afin d'écrire le résumé indicatif
d'une à deux lignes qui accompagnerait l'URL du site.
Concernant la saisie à l'aide du logiciel Word, je n'ai pas utilisé de réelle charte graphique. Je commençais une nouvelle page pour chaque domaine et je sautais une ligne pour changer de sous-domaine. Les adresses et les résumés furent écrits en taille 10 afin d'éviter qu'il y ait trop de passage à la ligne dans les résumés. C'est peut-être écrit petit, mais la mise en page ne semble pas poser de problèmes de lecture.
3.23 - Concernant le glossaire.
Lors des entretiens, on
m'avait faire part d'un besoin : la nécessité de créer
un glossaire qui définirait les termes du nouveau vocabulaire lié
au multimédia.
J'ai donc navigué au sein des annuaires de Yahoo et Nomade, dans les
rubriques "Informatique et Internet" afin de trouver des sites proposant
des dictionnaires adéquat.
J'ai ainsi pu visiter quatre sites intéressants qui proposaient des glossaires
: www.dicofr.com, www.multimania.com/ici, www.bonweb.com, www.soluceinfos.com.
J'ai lu attentivement les définitions proposées, puis j'ai choisi
les termes que j'allais développer, recopié les définitions
en les reformulant afin qu'elles soient plus claires pour les documentalistes.
Ensuite, j'ai organisé les termes et leurs définitions de façon
alphabétique.
J'ai également inscrit les URL des sites utilisés par respect
et pour que les documentalistes puissent les consulter en cas de lacune sur
un nouveau mot "high-tech".
3.3 - L'évolution du guide de recherche sur Internet.
Le guide de recherche sera amené à évoluer. Dans cette partie, j'évoquerai une évolution que j'ai pu accomplir très rapidement : l'équivalence électronique. Ensuite, je développerai l'avenir possible, mais plus lointain, de cette réalisation.
3.31 - La mise au format électronique du guide.
A l'origine, ce guide de recherche devait être uniquement édité au format papier. Mais il s'est avéré que j'ai eu le temps de le faire rapidement évolué en lui créant une équivalence électronique.
Les avantages d'un tel format sont très claires : l'HTML permet d'insérer des liens hypertextes et donc un accès direct aux sites que j'ai choisi ainsi qu'aux moteurs et annuaires de recherche que j'ai décrit. De plus, l'utilisation de plusieurs pages (une page par outil, une page par domaine et une page pour le glossaire) facilite la navigation et rend l'utilisation plus conviviale. Enfin, le fait de consulter ce guide en ligne au format HTML est une première étape qui permet de s'habituer encore mieux à Internet et aux possibilités offertes par le réseau.
Afin de créer les
pages web de ce guide électronique, j'ai téléchargé
sur le site "Telecharger.com" la version 3 de l'éditeur HTML
"Dreamweaver" (validité de trente jours). Ce logiciel est un
des plus connus et des plus performants sur le marché français.
Son interface WYSIWYG est un avantage certain et la correction du code source
est aisée.
Egalement, le fait d'avoir créé des sites web personnellement,
ajouté aux cours dispensés à l'IUT, m'ont facilité
la mise en page. Pour ce faire, j'ai recopié le texte tel qu'il était
saisi sous Word, je l'ai collé dans l'éditeur HTML et je l'ai
mis en page selon la même charte graphique que le guide papier : à
savoir, pour l'analyse des moteurs : logo, titre et les cadres "Description",
"Utilisation des signes et des opérateurs booléens"
et "Service proposés" ; pour l'annuaire de sites : les différentes
adresses et les résumés les uns sous les autres ; idem pour le
glossaire.
Chaque page possède un cadre en haut composé du logo de France
3, du titre de la page et d'un lien vers l'accueil. En bas de chacune des pages,
on trouve un lien vers l'accueil, un lien vers le haut de la page ainsi qu'un
lien vers la page d'aide. En effet, j'ai créé une page d'aide
qui explique le sujet du mémoire et la manière dont il faut utiliser
le site. De plus j'ai indiqué mon adresse e-mail afin que les documentalistes
puissent me contacter si elles ont besoin d'aide supplémentaire.
Concernant les fichier en .htm, je les ai intitulés de façon claire
: nom du moteur ou du domaine (ex : altavista.htm ou sport.htm). Quant à
la page d'accueil, elle s'appelle index.htm. J'ai également cliqué
sur chaque lien afin de vérifier la navigation au sein du site.
Ce guide électronique
est disponible de plusieurs façons.
Tout d'abord en local. J'ai copié les fichiers dans un dossier intitulé
"Guide de Recherche sur Internet" placé dans l'unité
H:\ du centre de documentation. Cette unité est accessible de chaque
poste du service. Et sur le bureau de chaque PC j'ai installé un raccourci
avec l'icône d'une loupe (représentatif de la recherche, le fichier
loupe.ico étant copié dans le même dossiers que les autres
fichiers). Ce raccourci pointe vers H:\Rushes\Guide de Recherche sur Internet\index.htm.
Par contre, il n'y a pas de protection, et une mauvais manipulation peut détruire
des fichiers.
De toutes façons, le même dossier est également disponible
sur Internet. Ainsi les documentalistes ont une solution de secours au cas-où
et d'autres personnes peuvent ainsi y accéder. Il fut mis en ligne sur
le compte "Free" que je possède, à savoir : http://ricoud.free.fr/france3
Le guide papier et son équivalence électronique sont donc complémentaires. Une personne à l'aise avec l'informatique utilisera la version en ligne ; mais quelqu'un qui recherchera uniquement l'URL sans pour autant visiter le site pourra consulter la version papier.
3.32 - Les évolutions du guide à plus long terme.
Tout ce qui touche de près ou de loin à Internet est en constante évolution. Chaque jour, de nouveaux sites sont créés et répondent à un nouveau besoin des utilisateurs amateurs ou professionnels.
Afin que le guide de recherche que j'ai conçu soit toujours pertinent, il faut que ce dernier soit régulièrement mis à jour. Ainsi, les documentalistes de France 3 Centre pourront ajouter, de façon manuscrite, de nouveaux sites qu'elles jugent intéressants au sein des domaines existants.
Il faut noter que la mise
à jour de la forme électronique requiert l'utilisation d'un éditeur
HTML. Cette mise à jour en local sera aisée car les fichiers sont
accessibles et ne sont pas protégés. Par contre, les modifications
seront forcément plus difficiles sur l'hébergeur "Free"
car elles nécessitent mes propres mots de passe. Il faudrait peut-être
que les fichiers mis à jour soient chargées sur un autre site,
à moins que je sois présent pour indiquer mes identifiants à
l'outil FTP.
Un tel travail de mise à jour tant sous Word qu'en HTML pourra être
approfondi par un documentaliste ou un stagiaire qui s'investira totalement
afin de conserver la pertinence du guide de recherche sur Internet.
Conclusion
Les trois parties du guide : analyse des outils de recherche sur Internet, liste
de sites au sein d'un annuaire et glossaire devraient donc permettre aux documentalistes
de répondre avec plus de facilité aux requêtes des journalistes.
De plus, cet outil permettra au personnel de France 3 Centre de se familiariser
à Internet avec plus de confiance.
Une fois les guides papier et électronique terminés, j'ai présenté le rendu aux documentalistes. Je leur ai montré le guide ainsi que l'équivalence électronique sur le réseau local. Je leur ai donc expliqué l'organisation des versions du guide. J'ai pu insister sur le fait qu'il ne s'agissait pas d'un dossier à lire en une seule fois, mais qu'il fallait l'utiliser tel un outil quand elles en auraient besoin avant de se lancer "tête baissée" sur Internet pour effectuer une recherche.
Elles m'ont félicité pour mon travail et m'ont affirmé que ce nouvel outil de travail clair et complet leur serait très utile.
remerciements - résumé
et indexation - présentation de
l'entreprise - grille d'analyse - sujet de
mémoire - bilan
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